You are in the street and you see police officers ask a family who appears to be of foreign origin for their papers.

Vous êtes dans la rue et vous voyez des policiers contrôler les papiers d'une famille qui semble d'origine étrangère.

  • Approach the investigation and inquire into the need for papers, standing ready to assist the family if need be.
  • First of all, I would be confused because I have never seen this happen and it would be an act of racial profiling. I would approach the family and ask if they need any help.
  • Give them help
  • I'd stand and watch, first, to see how the encounter goes. I would be worried for the family, and would see if there was some way I could help, perhaps contact someone for them - a friend, relative, immigration lawyer. If the policemen appeared to be rude or aggressive, I'd get out my phone and film the encounter, and report it.
  • I probably wouldn't say anything.
  • I see if I can communicate with them with a common language to help them through the process.
  • I stay at a distance and observe.
  • It is the officer's duty, but racial profiling is not ok.
  • I walk over and make sure that the police officers do not do or say anything violent and ask them if what they are doing is necessary.
  • I would approach the situation and figure out what the problem is. I would try to help the foreign family if things were out of order.
  • I would be furious. I would first search if that is even legal where I live and I would feel extremely hurt and offended. We are all strangers.
  • I would be offended.
  • I would be upset to see this but would certainly feel out of place to try and intervene. Unfortunately I would feel pretty powerless in this situation.
  • I would definitely wonder if they were actually foreigners since that can be difficult to just see. I don't think I would interfere, though. k
  • I would feel like I am in Arizona.
  • I would feel tremendous concern and empathy for the family. I would like to do more but don't know what that should be.
  • I would feel uncomfortable about the possible negative outcome of the situation and continue on away from the scene
  • I would feel violated
  • I would feel worried for the family and hope they are legal
  • I would remain on the street, making sure that the police were handling the situation with maturity and professionalism (no brutality, out-of-proportion bias because of social/cultural stereotypes that are often placed on foreigners).
  • I would reprimand the police officer for racial profiling.
  • I would suspect police bias, especially if the police were asking a family of color for their papers. I might linger nearby to see what develops. Depending on what I saw, I might ask if I could help (although the police would say "no," I am sure). If I were disturbed by what I saw I might write a letter to the police chief and the local paper.
  • I would think about the legality of the situation and the Arizona SB 1070 law.
  • I would wonder if there was a reason they were asking or if it was based on profiling.
  • I would wonder why this needed to be handled in public rather than in private which would be more respectful to the family, and would wonder why the police had the suspicion that they were illegal immigrants rather than tourists. I would probably stop and listen to the conversation and if anything inappropriate happened i could be a witness.
  • Look to see if there is anything unusual happening. If the family is being harassed, I might talk to people near me and ultimately decide to call other police to the scene.
  • Walk by without making a scene because I don't have any authority.
  • "C'est une honte, je me demande s'ils contrôleraient des blancs"
  • Ce n'est pas juste que ce soit eux qui soient contrôlés.
  • ce ne sont pas mes affaires je n'ai pas à intervenir
  • chaque personne du pays doit pouvoir montrer ses papiers si ils sont demandés. On ne peut pas admettre que ce soit du racisme.
  • Contrôle de routine, ne pas se braquer et partir du principe que les policiers remplissent leur travail en toute légalité et connaissance de cause.
  • discrimination, les policiers vont plus souvent contrôler des personnes semblant d'origine étrangère plutôt que quelqu'un qui ressemble a un bon français.
  • ils font leur boulot
  • Ils font leur travail, si cette famille (étrangère ou pas) est en règles alors tout ira bien pour eux.
  • Je continue de marcher.
  • Je continue de marcher droit et les ignorer. Ce ne sont pas mes affaires.
  • Je continue mon chemin, cela ne me regarde pas et ne m'intéresse pas.
  • Je fais rien de spécial
  • Je les laisse faire leur travail, j'interviens si la situation s'envenime.
  • je les laisse faire leur travail.
  • Je lui viens en aide si la famille ne parle pas la langue.
  • Je me demande pourquoi un tel contrôle mais je ne m'arrête pas. Les policiers ont légalement le droit de demander des papiers.
  • Je me demande quel peut être le soucis, ce qui a pu se passer. Je passe mon chemin.
  • Je me demande quels critères les policiers ont utilisés pour faire leurs choix
  • Je me demande si les policiers sont en droit de demander les papiers d'une personne sans preuve que celle-ci soit incapable de les fournir
  • Je me dirais qu'au mieux ils ont été choisis au hasard au pire ils ont été victimes de discrimination.
  • Je n'y prête pas attention.
  • Je ne fais rien, cela ne me regarde pas.
  • Je ne fais rien, les policiers ont le droit d'effectuer des contrôles d'identité tant que cela n'implique pas de propos verbaux agressifs ou de violences physiques.
  • Je ne fais rien. sauf si cela semble dégénérer.
  • Je ne me pose pas de question, n'importe qui peut se faire contrôler.
  • je passe mon chemin
  • Je passe mon chemin, car les policiers pourront plus les aider que moi
  • Je passe mon chemin, car seule je ne peut rien faire.
  • Je passerais sans prêter attention.
  • Je passe sans vraiment y faire attention, je ne vois pas qu'est-ce que je pourrais faire.
  • Je porte attention, entraîné par ma curiosité naturelle, à ce qu'il s'y passe.
    Mais après tout, où est le problème à ce que la police contrôle les papiers d'une famille d'origine étrangère?
    Sans connaître les motifs de l'échange, je ne vois pas l'intérêt de réagir plus que cela, surtout s'il n'y a aucune situation urgente et violente.
  • Je serais rassurer de savoir que les forces de l'ordre vérifie que les personnes présentes sur le territoire sont dans leur droit mais en même temps avec les migrants et la politique actuelle je penserais également " on s'en prends encore aux étrangers".
  • Je trace ma route
  • je trouve que les policiers s'appuient énormément sur les préjugés.
  • Je trouve ça dommage que certaines personnes pensent qu'être français soit corrélé à un type physique
  • Je vais passer mon chemin, ce ne sont pas mes affaires.
  • S'ils semblent en difficulté, me rapprocher pour voir s'ils ont besoin d'aide en traduction.
  • Si cela tombe sur eux par hasard, c'est normal qu'ils contrôlent tout le monde, je me sens en sécurité. Cependant, dans la vie réelle, il n'est pas rare de s'apercevoir que les étrangers se font contrôler plus que les autres: cela m'énerve.
  • Si le policier ne fait qu'un contrôle de papier, je passe sans rien dire.
  • Tristesse