A good student is someone who...

Un bon étudiant est quelqu'un qui...

always does his or her work and strives for excellence. love of learning, curiosity, responsible

completes all homework in time and goes to lecture.

completes assignments ahead of time and can remain focused for long periods of time.

dedicates time to learn the material, sacrifices fun for studies, respects their teachers and faculty

does the homework, comes prepared to class and wants to learn.

engages with the material, completes assignments in a timely manner, shows interest beyond what is required.

is conscientious and engaged in the material.

is dedicated to consistency.

is dedicated.

is on time to class, attempts all of their work, strives to understand and do it right (even if they have to do it over! :) )

learns for the love of learning.

likes to learn and works hard.

pays attention in class, takes notes, doesn't cheat, and does their homework

studies everyday and completes work on time. A good student goes to lecture, talks to professors when they need help, and does not cheat.

works hard and is responsible with his duties.

works hard and perseveres.

aime étudier,
sait étudier,
a envie d'étudier.

aime ce qu'il étudie, fait son travail

apprend, travaille et s'investit dans ce qu'il fait.

étudie, réussit, se divertit

est curieux, travail et s'investit.

est motivé par ses cours, réussit aux partiels, est poli avec les professeurs

est passionné par ce qu'il fait à l'école et s'investit dans son travail.

fait ses devoirs, qui réussit à ses examens, qui apprend.

procrastine efficacement, mange des nouilles 7j/7, ne passe pas tout son temps sur reddit.

réussi ses examens

réussit ses examens, est curieux et apprend vite.

réussit ses partiels

s'implique dans ses études ou qui réussit indépendamment de son implication, je ne sais pas trop

s'intéresse aux cours

s'intéresse à ce qu'il fait.

travaille bien, s'intéresse à tout, respecte les professeurs et les autres étudiants

travaille régulièrement, sait se détendre, communique correctement.

Discussion

The French students really equated a good student with success, while MIT students emphasized more doing the work correctly, even if it wasn't the first time around. I think I understand the MIT view - it's not possible to get everything correct the first time around here, and if our mindset was "success = a good student", we would all be bad students! Other than the success emphasis, answers seemed to the same - be on time, engage in class, love what you study. Why do the French put such an emphasis on success in order to be a good student, or did I misinterpret it?

I observed that a lot of French responses emphasised the love and passion of learning, as well as enjoying what one does. The Americans barely emphasised this; the American responses were more just about working hard, perservering, and completing all the assignments.

I propose that good French students enjoy their studies (or put a lot of importance in enjoying their studies) as opposed to a good American student who could just be a grind. 

My question to the French students is: Do you enjoy your studies?

C'est difficile de juger si les françaises aime leurs études ou pas. Je ne pense pas vraiment qu'il s'agit d'une différence d'attitude réel, mais plutôt que les états-uniens et les français one des attitudes prétendu différents. En bref, l'étudiant français a apprit qu'il faut réussir ces examens pour être un bon étudiant, l'étudiant États-unien qu'il faut bosser sérieusement pour l'être. Je ne sais pas ce qu'il pense vraiment.

J'ai du mal à saisir la vraie raison pour la présence des française dans l'enseignement supérieur, mais je soupçonne que la raison est que ils ne savent pas quoi d'autre faire. Qui est normale je m'imagine.

@Kirstyn - Je suis d'accord que la notion de réussite à été assez souvent proposée du côté français, peut-être est-ce parce que l'un des fondamentaux des études est qu'elles sont un moyen de parvenir à un but : le diplôme. Quand un objectif est fixé, il y a seulement deux aspects : la réussite ou l'échec, non ?

En même temps, les américains parlent de faire ses devoirs, travailler dur,... Pour moi la notion de réussite est là, de manière implicite.

@Ralph Dans mon cas j'aime mes études mais certains des cours entrainent une quantité de travail importante. Je ne penses pas que travailler beaucoup est en contradiction avec le fait d'apprécier ces études. En France, certains étudiants ont choisis leurs études en fonction de ce que leurs parents ou la société les a contraint à faire. Dans ce cas ils n'aiment pas forcement leurs études.

Je pense que l'accent est mis sur la réussite pour les Français car l'orientation d'un étudiant est souvent le résultat de séléctions successives plutôt qu'une véritable vocation. Par exemple, au lycée, les meilleurs élèves vont généralement en filière scientifique, même ceux qui préférent les matières littéraires. De la même façon pour les élèves ingénieurs, on choisit souvent la meilleure (la plus séléctive) école obtenue après le concours, les matières enseignées peuvent passer en second critére de choix.

Cela peut expliquer pourquoi les français accordent plus d'importance au résultat final qu'à la manière contrairement aux étudiants américains, qui en choisissant de façon autonome leurs matières, se concentrent sur le processus d'apprentissage plutôt que sur la réussite aux exament.

@Kirstyn

En France, je pense que le résultat est très important. Au final, peu importe à quel point l'étudiant s'investit dans ses études s'il n'a pas de bons résultats aux examens. Pour autant, il arrive qu'un étudiant n'ait rien compris à son cours mais ait une bonne note, et inversement. Il faut avoir de bons résultats pour pouvoir valider son année, choisir ses options ou postuler à un autre établissement scolaire.  Les étudiants sont toujours notés et classés selon leurs résultats depuis l'enfance. Je ne sais pas s'il en est de même aux Etats-Unis.

@Raplh

Je prends plaisir à étudier la plupart du temps, mais cela varie beaucoup selon les matières. Néanmoins, j'ai de nombreuses matières en horreur et les étudier devient une véritable torture. En effet, on a beaucoup moins de liberté dans le choix des matières en France qu'aux Etats-Unis, et il est plus facile pour moi de travailler une matière qui m'intéresse. C'est sans doute pourquoi on accorde tant d'importance au plaisir procuré par une matière : si on ne l'aime pas, on devra quand même la travailler et avoir de bons résultats.

Pour répondre à un peu tout le monde en même temps, mon expérience personnelle est qu'il est TRES LOIN d'être nécessaire de faire tous les devoirs, etc... pour réussir en école, et je suis justement dans l'idée d'être au taquet (nb: c'est une expression locale) le jour de l'examen et les quelques jours avant pour pouvoir réviser au maximum juste avant et tout relacher au jour j.

De même, par rapport à ce que dit Ivan, au final beaucoup de gens ne feront pas un travail qui aura un rapport direct avec ce qu'ils auront étudié et devront de toute manière apprendre énormément de chose lorsqu'ils seront dans une société. L'idée est donc plutôt d'arriver à être embauché, plutôt que d'avoir les meilleures notes.

 

Finalement, je dirais que j'adore ce que je fais (de l'informatique), j'ai toujours voulu en faire et j'ai fait de mon mieux pour arriver dans une école ou je puisse m'amuser pendant les cours :)

Je remarque que les étudiants américains soulignent quasiment tous l'importance des devoirs à la maison. J'ai l'impression que chez vous la majorité du travail se fait à la maison, alors qu'en france le plus gros du travail est fait en cours. Les différences dans les réponses sont pour moi le reflet des différences entre nos systèmes éducatifs.

@Ralph : Je prends plaisir à étudier quand une matière est abordée de manière intéressante et avec des exercices constructifs. Malheureusement c'est loin d'ètre toujours le cas à l'ENSEIRB-MATMECA...

Q: Ici en France, nous avons des examens pour toutes les matières pendant une semaine à la fin du semestre, ce qui peut expliquer que la régularité du travail revient moins souvent dans nos commentaires. Avez vous le même type d'examen aux USA ?

@Louis : +1

@Ralph : En France nous avons un gros problème dans les études. On ne peut pas vraiment choisir ces cours nis sa spécialité au sein même d'une filière.

Prenon l'exemple de notre école. En première année, AUCUNE option n'est disponible. Ce n'est qu'au 7e (!) semestre de nos études supérieures que nous pouvons choisir des options qui n'ont AUCUNE influence sur la suite de notre parcours. Ce n'est que lors de la dernière année(plutôt des 4 derniers mois de cours puisque les 6/8 suivants sont suivis d'un stage) qu'on se spécialise vraiment.

Notre parcours est trop générique et les choix possibles sont bien trop limités. Du coup, peu de personnes sont vraiment intéressés par la majorité des matières qu'ils étudient, et c'est vraiment dommage

J'ai remarqué que chez lzq Américains, le mot "cheat" apparaissait très souvent, ce qui n'est pas le cas chez les Français. Est-ce que les étudiants américains trichent souvent, facilement ou se font souvent prendre la main dans le sac ?

@Samantha: No one would dare think of cheating at MIT. It is simply not worth the risk of expulsion. Furthermore, if one has to resort to the questionable returns of cheating, it would signify his complete lack of understanding of the subject and he is better off dropping it from his registration and trying again next semester.

It is very difficult to critique the French education system not only because I'm not a part of it, but because it's structured so differently from that of the United States, all the way from day one. Homework is very important at MIT because it requires independent problem solving that is needed for success on exams. These exams (two or three midterms and a cummulative final, usually) are typically weighted much more than the sum of all the homework assignments. Even if one "punts" a problem set one week he still has to make sure he understands how to solve the problems, preferably without the aid of the solutions.

Based on the opinions of some of my classmates, lectures have varying degrees of usefulness, but I have heard some are able to make it by only attending once in a while.

It seems that frustration over being able to delve into one's major is a concern amongst the French students. At MIT, the first year is spent clearing the majority of the "General Institute Requirements," and from sophomore year on people focus on courses related to their major.

I think that while success is also important to students at MIT, we are so used to failure/seeing other people fail that perhaps we had to get used to the idea that failing does not make you a bad student, it is more important to work hard.  Almost everyone I know has done poorly if not failed an exam before.  My friend who studied chemical engineering told me that for one of her exams, the class average was a 35.  The scores were weighted to account for the low average, but technically the majority of people "failed" that exam.  In France is it as common for students to fail at least one exam during their time at university?

 

@Alex

I think a lot of cheating goes on at MIT, it is just not labeled as cheating.  Especially for the GIR subjects, tons of people copy other peoples' problem sets instead of doing the work themselves.  Usually people feel more justified doing this in GIR classes because they may major in a subject completely unrelated to GIR classes (calculus, biology, chemistry, physics).   It may not be a stereotypical form of cheating (like cheating at tests, plagiarizing papers, etc.) but it is still using someone else's work as your own.  However, copying problem set in the long run does much more harm than good, and in general many people frown on that sort of behavior.

@ Louis: In general, in the USA, the final grade reflects work and assesment done throughout the semester. I am under the impression that this is different in France where the final grade is much more determined by a final exam at the end.

 

@Samantha: I think that at MIT, and in any other place where there is a lot of emphasis on math, science, and engineering, you can't really cheat because a lot of the classes build on your understanding from earlier classes. So if a lot of cheating was done earlier, passing classes at a later stage becomes much much harder. I don't think its possible to get a science degree from MIT without understanding engineering/science in some form.

However, that being said, I am sure that there is always cheating everywhere around the world.

I think that at MIT, if there is cheating, it is done at a much smaller scale like copying homework. But if this is done, the cheater usually takes the time to later understand the work he/she cheated on, because it will hurt him/her later on. 

 

I have the same question as Robin does actually... Is it common for people to fail at least one exam during their time in college/ at University? 

@ Mathias 

Would you say that you enjoy the subjects that you study even if the majority of people don't? 

 

How do the rest of you feel? Would you all say that you enjoy your studies?