You are at a party and you see one of your friends getting very drunk.

Vous êtes à une soirée et vous voyez un/e de vos amis/es qui boit beaucoup trop.

  • I'd keep an eye on her and make sure she doesn't get herself into any situation she'd regret.
  • I'd keep an eye on him/her and stay close so that I could react if anything happened, and I'd probably take his/her keys.
  • If they were getting dangerously drunk then I would watch them and make sure they didn't drink anymore alcohol.
  • I keep a closer eye on him/her and get ready to take him/her home if necessary.
  • I take my friend out of the room, get him some water, and start explaining to him that he should take a break for a while. If it is really bad, I would just attempt to take him home.
  • I take them home immediately and take care of them. Feed them and give them lots of water to drink. Then stay with them when they sleep and make sure they don't vomit while sleeping.
  • I would be a good samaritan by taking away the alcohol and ensuring they get to bed safely.
  • I would keep an eye out for them and would make sure they got home safely.
  • I would keep one eye on him. I wouldn't necessarily stop him from partying—unless he is starting to cause any trouble. At the same time, I wouldn't let anybody take advantage of him.
  • I would make sure she is okay. I would take her back to her room and make sure that she drinks a lot of water.
  • I would make sure that there is somebody with him at all times and escorting him home
  • I would stop my friend from drinking and take them home.
  • I would tell my friend to stop and then keep an eye on him/her
  • I would think to myself, why am I here again?
  • I would try to take care of my friend so that he/she isn't in a dangerous situation.
  • Keep an eye on him/her. Try to stop him/her from doing anything they would really regret
  • Keep an eye on them.
  • Keep an eye out for him, make sure he's okay, cut him off, and make sure he stays safe.
  • Pull him/her aside and ask if he/she is OK. Make sure that they're ok and bring them home before they do anything they might regret.
  • ...
  • C'est seulement lors d'une soirée, je sais qu'il ou elle n'est pas alcoolique alors je m'en fiche, je ne m'en inquiète pas.
  • j'essaierais d'attirer son attention sur qch d'autre
  • je cherche de l'eau pour lui ou elle, et j'essaie de le/la faire s'asseoir
  • je garde un oeil sur la personne
  • Je l'empêche de boire
  • Je le/la laisse profiter de sa soirée mais garde un oeil sur lui/elle.
  • je le laisse faire si il ne prend pas sa voiture après
  • Je leur demanderai pourquoi pour montrer que je fais attention à eux
  • je lui arrache son verre des mains et lui dis de se calmer
  • Je lui demande comment il rentre. Je lui dis de faire attention car si il boit trop il risque d'être malade.
  • Je lui demande de ralentir et je le surveille discrètement.
  • je lui dirais gentiment de faire attention
  • Je lui dis de ralentir la cadence, je le surveille et propose de le ramener chez lui.
  • je lui dis qu'il est ivre
  • Je lui dit de faire attention et je commence à faire attention à lui pour éviter qu'il ait des problèmes.
  • je lui fais comprendre qu'il faut s'arrêter et je reste à côté de lui/elle
  • je ne ferai rien
  • Je ne suis pas confrontée à ce type de situations.
  • Je prends soin d'elle.
  • je reste là pour l'aider à rentrer chez lui
  • Je vais le voir et je lui demande comment il compte rentrer; je l'invite à dormir chez moi. Pourquoi il boit ne me regarde pas, c'est peut-être sa manière de s'amuser.
  • Je vais l'accompagner pour rentrer chez lui/ elle.
  • je veille à ce qu'il ne conduise pas ce soir là et qu'il ne boive pas à en devenir malade
  • Sauf si cette personne conduit, je laisse faire. Le mal de tête qu'il aura demain lui servira de leçon.

Discussion

It seems that the French students would most likely either remove the alcohol from the situation, directly tell their friend to stop drinking, or wouldn’t know what to do. The American students mostly claimed that they would keep an eye on their friend and take them home if something looked weird. The American students also seemed to all know exactly what they would do in this situation. Do you think that this is because of the party culture at American Universities?

I am curious to know how often this occurs in France. Seeing that there is a difference in the minimum drinking age between France and the U. S. I was thinking that may be it is not such a big issue in France since people can start drinking at a younger age.

I agree with Mr.Bilingual and sandrilene. I think due to the fact that there is a higher drinking age here most college students that are drinking are doing it illegally. Therefore, they cannot have alcohol anytime they want and so, when they go to a party, some of them really want to drink and go crazy. For this reason, a lot of American students have seen people get drunk at parties and, even if they have not yet had to deal with a drunk friend, they at least have an idea of how they will do it in the future.

I also agree that students at American universities drink in excess more than at French universities. Maybe this is because of the drinking age, maybe it’s because of the “Greek” system, or some other cultural element. But it’s also true that at American universities, it’s hammered into the students exactly what to do when a friend gets too drunk, and it’s usually taken very seriously (because it’s often such a problem). Do they talk about this much at French universities?

Vous avez raison, en France les jeunes peuvent légalement boire plus tôt et cela a pour conséquence qu’arrivés à 21 ans, ceux qui veulent tout goûter l’on déjà fait… Après, je pense que les statistiques ne peuvent pas nous aider dans ce débat, car les jeunes en France boivent aussi illégalement avant 18 ans! Nous savons ce que nous voyons…
Par exemple, dans mon groupe d’amis, on a commencé à boire vers 14 ans, et nos parents nous ont toujours fait confiance et ils savaient que l’on buvait. Ils achetaient l’alcool que l’on buvait dans les fêtes et cela nous suffisait: on était tellement content de boire une bière à deux!
Je pense que pour mon groupe d’amis, cette pédagogie a bien marché, parce qu’on a rarement abusé de l’alcool. Bizarrement, les moments où on a le plus bu, c’était quand on avait 17-18 ans, et qu’on cumulait l’alcool offert par les parents, et celui qu’on pouvait s’acheter! C’était aussi le stress du baccalauréat, le stress du choix de la fac, la fin des années lycée, la peur de ne jamais se revoir, de ne plus avoir cette liberté d’adolescent et donc on sortait un maximum pour profiter de ces derniers moments…

Avant dans les universités françaises, les élèves organisaient des soirées “open bar”, où l’alcool était gratuit et à volonté. Comme c’était financé en grande partie par la fac, il y avait beaucoup d’alcool. Ça a été interdit parce qu’il y avait toujours des accidents, parfois graves. J’ai connu les dernières années “open bar” et en effet, c’était l’orgie, encore plus qu’avant parce que c’était les dernières. L’avantage c’est qu’il y avait un bus pour ramener les gens chez eux à la fin. Comme ces soirées font partie d’une tradition universitaire, les élèves ont maintenant trouvé une autre manière de se saouler. Ils boivent avant très vite, alors on ne sait pas au final ce qui est le mieux. La consommation d’alcool dépend aussi des études et du sexe: plus les études sont stressantes et masculines (médecine, ingénieur), plus les jeunes boivent. On boit peu dans les soirées entre étudiantes en littérature. On fume plutôt!

Je vois un peu les deux côtés de loin. Je viens d’arriver en France et je ne suis jamais allée aux Etats-Unis, mais venant du Brésil, je connais un peu les modes de vie des jeunes américains car chez nous on n’est pas très différents et je connais vraiment beaucoup de brésiliens qui y sont allés ou même qui ont habité là-bas. Donc, si je compare cela à ce que je vois en France depuis mon arrivée et à ce que j’ai vu avec les jeunes français que j’ai déjà reçu au Brésil dans le cadre des échanges auquels j’ai participé, je ne pense pas qu’il ait autant de différences. En effet, ils peuvent avoir des “styles” différents pour faire la fête, mais la quantité d’alcool ou les conséquences de sa consommation exagérée seront variables dans la même mésure à mon avis. C’est-à-dire, des deux côtés il y aura des exemples de jeunes qui ont commencé à boire avant l’âge légale, des exemples de parents plus souples ou plus sévères, des exemples de jeunes qui savent très bien contrôler s’il boivent trop et d’autres qui dépassent toujours la limite etc. Donc, je pense que les différences trouvées dans les réponses sur l’attitude envers l’ami qui boit trop sont plutôt d’ordre personnel et pas social. Les personnes ont des manières différentes d’agir devant une situation où elles doivent intervenir dans le libre choix de quelqu’un.

I agree that the effect of a higher drinking age in America makes such issues worse here, and also that the responses probably reflect personal choices a bit, but it’s also true that there is a ton of effort put into educating students at MIT, for example, about drinking responsibly and helping save people from alcohol poisoning. I feel obligated to do something since I see the risk of death and so on as very real. So, perhaps the lack of responsibility in the U. S. plays a factor in causing more publicity about alcohol poisoning, but the advertisement of it here is pretty important too. Do you have any class or seminar that you have to do to learn about “drinking responsibly” or helping people who have had too much to drink?

I’d agree with nofreepapayas on the effect of the huge amount of publicity on the serious nature of alcohol poisoning. I personally had to go through 3 alcohol-awareness programs my first semester at MIT- one for my sorority, one for my sports team, and one that every first year student had to do. These types of programs have given American teenagers and young adults a procedure to follow if they are ever in that situation. I do agree with hellenamillard in that different people decide to go about keeping themselves and their friends safe in different ways- some people just don’t drink, while others know how to watch out for one another.

I would have to agree with Cefernan’s comments. I do think that the amount of alcohol a student drinks depends on their gender and their field of study. Here at MIT, there have been a few instances were excessive drinking of alcohol has caused a few problems. As a result, there have been stricter rules emplaced about parties since last year. I was wondering how you think the administration faculty at your school would react if there were excessive alcohol use at parties. Would parties be restricted from having alcohol?

En France, les universités ne sont pas responsables du débit d’alcool dans les soirées universitaires (du moins je crois). Nous n’avons pas des séminaires ou programmes comme vous. Il n’y a pas de communication et publicité, comme chez vous apparemment. Je crois que s’il y en avait, elle serait plutôt mal vue, comme si l’université voulait jouer un rôle paternaliste qui ne serait pas le sien, mais plutôt celui des parents. En fait je pense qu’en France, l’université publique a déjà assez de travail pour s’assurer que les élèves vont bien en cours! C’est plutôt le rôle des associations, qui des fois sont rassemblées devant l’université, distribuent des capotes etc…
C’est peut-être aussi lié au fait que les jeunes Français sont moins nombreux à avoir une voiture?

Interesting response, cefernan. Do most French university students live off campus? That might play into why the school isn’t so responsible for drinking safety.

As for the fact that more Americans drive, it seems to me that that’s the case during high school, but many college students (especially ones on urban campuses) do not drive much, so I doubt that’s a big part of why MIT would be more proactive about drinking safely.

I came to the US last year, so I don’t actually know that much about American culture or traditions. Originally, I am from Russia. The legal drinking age is 18 there but people definitely start drinking before that. I can relate Cafernan’s comments to what my life in Russia was like. In my group of classmates/friends, people started drinking also at 14.
Before coming to the US, before coming to MIT, I have definitely seen drunk people at parties, and I felt like I had more experience than many other freshmen and knew what to do in certain situations.
During our freshman orientation, before our classes started, there were multiple training session (I don’t really know how to call them) where MIT staff would tell what to do at parties, explain what alcohol does to our brains and how it affects decision making. They gave us a lot of tips and rules such as “Never leave your drink unattended”, “If you see your friend going away with a stranger, make sure she/he is not going to get into trouble”.
MIT for sure spends a lot of time educating students about alcohol, partying, preventing potential rapes or suspicious situations. We don’t have drinking awareness programs in Russia. I haven’t even ever heard of them before coming here. People don’t consider drinking a big problem in Russia. The youth doesn’t have cars, so no accidents happen. Also since everyone tries alcohol very early, the teens learn how to drink reasonably very early too. At least that’s how is was with the people I know.
In many Russian families, on holidays, parents start giving a glass of wine or champagne to their children after they turn 12, so the children can see that there is nothing that exciting about alcohol, nothing that rebellious, and that even their parents are ok with it.
I am very curios, and my question is for both Americans and French, what is your parents’ perspective on you drinking?

Hi valerie! My parents would be VERY disappointed if they found out that I drink in college. For two reasons, one because at my age it is against the law and also for religious reasons.

I believe it is quite common to have at least one experience taking care of a drunk friend in college in the US. In fact, I have been in quite a few scary situations in which my friends drank WAY too much and had to be transported to the hospital. Does this happen frequently in France?

Valerie- I grew up in the US, and my parents have never offered me a drink. They did make it clear, from when I was little, that alcohol is meant to be enjoyed socially rather than used to get drunk. If I were to get drunk and my parents were to find out, I think that they would be more disappointed that I couldn’t stand up for my beliefs than in the fact that I drank. I believe that I have a responsibility to my teammates (and to myself) to keep myself in good shape, which includes eating well, sleeping a decent amount, and not drinking.

En France, nous n’avons pas de “alcohol-awareness programs” mis en place par l’université. Et pour répondre à la question de nofreepapayas, à savoir “Do most French university students live off campus?”, je préciserais que nous n’avons que très très peu de campus universitaires en France. Notre université par exemple n’en possède pas. Quant au coma éthylique évoqué par BeepBop, oui cela arrive en France, mais je ne pense pas que l’on puisse appliquer l’adverbe “fréquemment” à ce phénomène. L’alcool est courant en France: boire une bière à la terrasse d’un bar, s’offrir un verre de vin pour accompagner son fromage… Il est associé à des moments de convivialité. Cependant, l’alcool est considéré comme une “drogue dure” par les médecins. L’alcoolisme, qui revêt différentes formes, fait des ravages en France mais reste un sujet tabou. Il est très difficile de refuser un verre lors d’un repas entre amis par exemple. Cela est lié à notre culture. L’alcool est considéré positivement en France. Nous buvons surtout de la bière en été et du vin toute l’année. L’alcoolisme est une maladie encore trop peu prise en compte en France. L’alcool au volant est un problème par exemple. (Carine)

Oui Valerie, je pense qu’on a eu une éducation similaire sur ce point là. Les parents savent pertinemment que les jeunes boivent, alors faire goûter pour “démystifier” l’alcool, parfois ça marche! Le tabou n’est pas une bonne forme de dissuasion, surtout en France où comme le dit Carine, le cercle d’amis a toujours une bonne excuse pour boire un verre.

Les comas éthyliques en France sont peu nombreux. Cela vient peut-être de la façon dont on boit et l’image qui y est associée? Avec l’image véhiculée par le cinéma américain, on a l’impression qu’aux Etats Unis, il y a une forte tradition des jeux à boire en soirée et que le seul but de la soirée c’est de se retrouver mort bourré.
Je crois qu’en France pas vraiment, même si c’est en train de changer à cause du succès des films du genre “Hangover”. Avec ces films, il y a des jeux qui se sont exportés! A la dernière soirée, des amis ont fait un “beer pong”.

Je pense que les Français ont des attitudes différentes par rapport à l’alcool, par exemple, par rapport à ce qu’à dit Carine, je trouve cela amusant parce que j’aurais facilement dit que nous buvons du vin en été et de la bière toute l’année. Je viens du nord de la France alors peut-être que les habitudes d’inversent. Je connais certaines familles pour lesquelles l’apéro est un moment très important, ils se retrouvent en famille tous les soirs devant la télé l’hiver ou dans leur jardin l’été et boivent un verre. A 19h, apéro! même parfois dès 14-15 ans. Par contre, dans certaines familles, boire, et spécialement tous les soirs, est très mal vu. Il y a aussi cette mentalité un peu dérangeante en France où un homme qui ne boit pas n’est pas un homme ou encore qu’une personne qui ne sait pas boire beaucoup ne “tient pas l’alcool” ou “ne sait pas boire”. Les choses changent progressivement, notamment grâce aux campagnes publicitaires contre l’alcoolisme parfois assez choquantes. Avez-vous ce genre de publicités ou d’affiches “choc” contre l’alcool aux Etats-Unis? pensez-vous que c’est la bonne solution d’essayer de choquer les gens?

J’ajoute un petit commentaire à Adianelem, concernant les publicités ou affiches contre l’alcool. Ce sont surtout des campagnes publicitaires contre l’alcool au volant qu’on voit régulièrement. Car c’est quand même un gros problème en France. Et pour rejoindre Carine, il est vrai que l’alcoolisme est tabou, que c’est une maladie, et que notre” culture du vin” a occulté ce problème.
Pour l’alcoolisme chez les étudiants, il y a quand même des écoles qui en parlent. En France, l’enseignement supérieur est partagé en deux, entre les universités publiques (les frais d’inscription sont minimes) et les “grandes écoles” : publiques avec des frais d’inscription réduits, ou privés avec des frais d’inscription beaucoup plus élevés (5 000 Euros/an et plus !).
Dans les grandes écoles, depuis quelques années, on commence à parler des addictions, et notamment à l’alcool, et les directions des établissements signent des “chartes” avec les associations étudiantes pour limiter les abus d’alcool, surtout si une soirée est organisée “au foyer” de l’établissement (le foyer est un lieu convivial pour les étudiants, tenus par leur soin).
L’alcool chez les jeunes est un problème, et il me semble que vous, étudiants américains, êtes mieux armés pour y faire face, et que vous savez mieux protéger et faire attention aux amis qui boiraient trop à une soirée. Je vous laisse répondre à Adianelem, au sujet de des publicités contre l’alcool, car votre avis m’intéresse aussi… A très bientôt,

J’ajoute un petit commentaire à Adianelem, concernant les publicités ou affiches contre l’alcool. Ce sont surtout des campagnes publicitaires contre l’alcool au volant qu’on voit régulièrement. Car c’est quand même un gros problème en France. Et pour rejoindre Carine, il est vrai que l’alcoolisme est tabou, que c’est une maladie, et que notre” culture du vin” a occulté ce problème.
Pour l’alcoolisme chez les étudiants, il y a quand même des écoles qui en parlent. En France, l’enseignement supérieur est partagé en deux, entre les universités publiques (les frais d’inscription sont minimes) et les “grandes écoles” : publiques avec des frais d’inscription réduits, ou privés avec des frais d’inscription beaucoup plus élevés (5 000 Euros/an et plus !).
Dans les grandes écoles, depuis quelques années, on commence à parler des addictions, et notamment à l’alcool, et les directions des établissements signent des “chartes” avec les associations étudiantes pour limiter les abus d’alcool, surtout si une soirée est organisée “au foyer” de l’établissement (le foyer est un lieu convivial pour les étudiants, tenus par leur soin).
L’alcool chez les jeunes est un problème, et il me semble que vous, étudiants américains, êtes mieux armés pour y faire face, et que vous savez mieux protéger et faire attention aux amis qui boiraient trop à une soirée. Je vous laisse répondre à Adianelem, au sujet de des publicités contre l’alcool, car votre avis m’intéresse aussi… A très bientôt,

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