Greatest Fears

Plus grandes peurs

death and failure
ending up in a mediocre marriage.
failure, mediocrity.
far too many, including but not limited to divorce, not being respected by peers, chronic depression, and being distanced from my family.
for the potentially irreparable consequences of future bad decisions.
irrational.
lonliness and depression.
losing loved ones.
losing my parents, not finding success after college.
my favorite challenges.
not being respected.
not finding success and happiness, losing friends and family
not having someone to talk to and being isolated
prolonged solitude and stagnation.
rejection, and not fufilling my potential.
spiders and lowering my expectations
that i will be insignificant...
to be ignored, forgotten, or misunderstood.

de me trouver en hauteur et de regarder en bas!
de ne pas etre heureux, sur la santé de mes proches
de ne pas réussir ma vie et d'avoir une maladie dangereuse avant de mourir
de voir mon ordinateur endommagé.
échouer, décevoir les attentes de ceux qui me tiennent à coeur, perdre ceux qui me sont chers, les maladies
être loin de tout ceux que je connais
la maladie, la mort, l'echec
la mort, de tromper ma fiancée
la paralysie, la dépendance exessive
la solitude, l'échec, la bêtise
le réchaffement climatique
l'echec
l'échec, d'être rejetée par les autres
les araignées
les insectes (>_ mon avenir.
ne pas trouver ma vocation
optique,travail,
partir de l ENST, ne pas pouvoir parler avec un americain
perdre les gens que j'aime
perdre ma bitte, être entérré vivant et mourir dedans
ridicules.

Discussion

To me, there seem to be a lot of similarities between these answers. Could this be because we are all of a similar age group and at a similar point in our lives- are they simply the 'universal' fears of a university student (failure, being alone, etc.)?

While I agree that a lot of the responses are similar, I also noticed that a lot of French people mentioned sickness as a fear, whereas none of the Americans mentioned it. I wonder if this has any connection to the standard lifestyle of someone in France or in the US which leads to sickness as being a common theme. Is there more awareness or better health care in the US from the point of view of a student that it isn't something to be feared on such a grand scale?

lorsqu'on a parlé de maladies comme "peurs",je crois que tout le monde pensait plus aux maladies tres dangereuses qui sont incurables, et non pas être malade et ne pas pouvoir aller chez le medecin! ceci dit je ne pense pas qu'aux USA il y'a plus de "better health care" qu'en France.
La raison pour laquelle on a mentioné les maladies parmi les peurs est que dans les médias on parle beaucoup de prévention contre les maladies...et aussi le fait qu'on est conscient que dans le monde en général et avec toute la polution qu'il y a et le non respect de l'écologie on n'est jamais à l'abri de maladies.

I also noticed that sickness appeared more often under the French responses. However, what was most notable to me was that the American responses overwhelmingly named mediocrity or similar states of being (depression, failure, being isolated, rejection, that I will be insignificant...) in the future as greatest fears. Although equivalent responses showed up on the French side (l'échec, la solitude, mon avenir, ne pas réussir ma vie), I found that they were more frequent for the Americans. I'm curious as to what sort of emphasis French society puts on an individual's future--whether value derives from "happiness", economic success, familial success (having children, being married, etc.) or other characteristics. Do the French use the sayings "life is short" or "carpe diem" in every day conversation as often as we do?

En France nous utilisons aussi les expressions "la vie est trop courte" ou "carpe diem" courament mais peut-etre moins souvent que vous. Je pense qu'en France la société impose moins de pression par rapport à la réussite professionnelle et surtout financière qu'aux USA. C'est tout de même quelque chose d'assez important, cela dépend biensure des personnes, mais je pense que ce qui est plus mis en avant c'est la recherche du bonheur, et ce bonheur peut etre simple, et ne nécessite pas forcément la réussite financière. "L'argent ne fait pas le bonheur". La réussite familiale et aussi beaucoup vantée mais je pense que les choses évoluent un peu par rapport à cela puisque les mentalités deviennent un peu moins traditionnalistes. Mais réussir sa vie implique tout de même fonder une famille dans l'opinion commune je pense.

I noticed that the American responses seemed to be more often general, conceptual answers (failure, isolation, stagnation), while the French responses were often more specific. Or, there were more specific fears on the French side (de voir mon ordinateur endommagé, de tromper ma fiancée, le réchaffement clamatique, les insectes, ne pas pouvoir parler avec un Américain). It seems to me that we have seen this same tendency in other responses, and I think it has been more pronounced for words or phrases that were more personal. Does anyone have any ideas why this could be?