You meet one of your neighbors on the street. He/she does
not say hello.
Vous croisez votre voisin dans la rue. Il/elle ne vous dit
pas bonjour.
greet
them any way.
i ask
him/her if she is fine
i don't
care at all
I keep
on walking as if nobody was there.
I make
sure that the person recongnized me.
I pass
by him/her without saying
I say hello
I say
hello and keep going.
I say
hello anyway.
i say
hello the first time
I say
hi anyway, then look at the ground and walk on...
I would
call him/her the next day and ask her if anything is wrong.
I would
feel a little slighted, but would shrug it off.
I would
feel neglected.
I would
get annoyed and keep walking.
I would
say hello and smile.
I would
say hello in a loud, sort of condescending tone.
I would
say hello.
I would
say hello.
I would
say Hello. But if he/she looks indifferent, I will walk by.
I would
think that perhaps he/she simply did not see me.
I'd
feel hurt
I'd say
hello
I'd say
hi
I'd say
hi & then figure they were thinking about something else.
Say
hello
Say
hello first.
Say
hello if looks my way, ignore otherwise
Say
hello if you don't think they noticed you.
Shrug
it off and continue
There must be something wrong with
him/her.
c'est pas grave il devait
penser à autre chose
il ne m'a sûrement
pas vue
il ne manque pas d'air,je
ne lui dirai pas bonjour non plus
je continue a marcher sans
lui dire bonjour
je continue mon chemin
je l'interpelle en lui disant
bonjour
Je le passe sans rien dire
Je lui cris "bonjour"
très fort de manière à ce qu'il ne puisse pas
m'éviter.
je lui demande si tout va
bien
Je lui dis bonjour
je lui dis quand même
bonjour pour instaurer un contact, sauf si je déteste la personne
je lui dit bonjour
je lui dit bonjour avec insistance
afin qu'il s'excuse et me dise bonjour aussi
Je lui dit quand même
bonjour (au cas où il/elle ne m'aurait pas vu).
Je lui en veux
je me demande si il l'a fait
exprès et je pense qu'il est impoli
Je me dis qu'il ne m'a pas
vu
je me tais déçu
Je ne cherche pas à
m'imposer, tout en étant déçu.
Je ne m'en soucie pas plus
que ça
je passe mon chemin, ce n'est
pas la prémière fois.
je pense qu'il ne m'a pas
vue, ce n'est pas grave.
je pense qu'il ne m'a peut-être
pas vu
je pense qu'il/elle ne m'a
pas vue, et l'aborde
je suis vexé
pareil
Discussion
- 09:13am
Oct 22, 2001
(#
1
of 3)
Salut tout le monde...
Contrairement à vos remarques, on ne peut pas dire qu'en France les rapports entre voisins soient des meilleurs.Tout se limite à un simple "bonjour" et encore ce n'est pas toujours le cas.
Cependant je m'entends très bien avec mes voisins de paliers:nous prenons l'apéritif et dînons ensembles lorsqu'ils sont de passage à Paris.Ils sont américains d'ailleurs.Serait-ce une coincidence ???
- 12:24pm
Oct 22, 2001
(#
2
of 3)
Living at college, the situation with neighbors is a bit different than at home. At college, so many people live on each floor of each building that is impossible not to befriend them. Thus, my neighbors in college are good friends of mine. However, I hardly know anyone in the building next door.
At home, all the members of my family know the neighbors well. We help each other out; for example, if a family is going on vacation, the neighbors will offer to check the mail and mow the grass while they are gone. Often, someone will share food that they have cooked or baked. And we all look out for the good of the neighborhood.
Neighbors have been a constant friendly factor in my personal experience, but I grew up in the suburbs. Living now in Boston, I find that people are less willing to be neighborly.
To the French students: Do you find that people are more or less "neighborly" in the city than in the suburbs?
- 07:59am Oct
24, 2001
(#
3
of 3)
Salut Katherine. A priori je pense que les gens se connaissent davantage en banlieue ou à la campagne. Moi j'habite dans un immeuble à Paris, là où les gens sont réputés pour se parler le moins... C'est assez proche de la réalité. J'ai vécu pendant 20 ans dans le même immeuble sans être devenue amie avec mes voisins (on se dit juste bonjour quand on se croise dans l'escalier).
Cependant je me dois de signaler une évolution que l'on peut remarquer depuis quelques années. La population de mon quartier et celle de mon immeuble est en train de changer: beaucoup de jeunes couples aisés (avec des enfants pour certains) viennent s'installer par chez nous. Ce sont des gens qui gagnent bien leur vie mais qui veulent rester "cool", et profiter de la vie. Ils vont faire leurs courses dans les vrais marchés, font du roller ou du vélo, prennent le brunch avec leurs amis au café le dimanche matin... Il y a une mode depuis quelques temps, c'est d'organiser des repas de quartier et des repas d'immeuble. Tous les voisins se retrouvent sur une place du quartier ou dans la cour de leur immeuble avec des provisions à boire et à manger, et partagent ensemble pour faire connaissance,etc. Le premier repas d'immeuble de mon immeuble a eu lieu le 27 juin dernier. Une association (fondée par des jeunes gens d'environ 24-25 ans qui étaient dans le collège où j'étais) organise des repas de quartier depuis 3 ou 4 ans près de chez moi.
Je pense donc que Paris change un peu. C'est peut-être ce que reflète l'élection du nouveau maire au printemps dernier. Cependant, ce n'est peut-être qu'une toute petite partie de la population qui change, mais qui se fait beaucoup remarquer! Beaucoup de gens sont ironiques face à cette nouvelle convivialité. On appelle cela le phénomène des "bobos": les "bourgeois-bohèmes", population qui profite de la nouvelle économie en gagnant bien sa vie mais qui prétend ne pas vouloir tout sacrifier à la vie professionnelle (leurs parents étaient des babas cools) et par conséquent dépense beaucoup d'argent en loisirs.
Moi j'ai l'impression que la convivialité est une valeur qui monte. C'est selon moi ce que reflète le succès démentiel du film de Jean-Pierre Jeunet:"le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain". L'avez-vous vu aux Etats-Unis? si oui qu'en pensez-vous?
( Etudiants de l'INT, écrivez aussi pour me dire si vous trouvez que je délire ou que vous ne percevez pas les choses comme ça!)