Salut, c'est Aurélia (et David aussi, virtuellement) Pensez-vous que vous préféreriez avoir beaucoup d'amis ou un petit groupe d'amis? Est-il vraiment profitable qu'un ami soit toujours derrière vous, c'est-à-dire qu'il soit toujours d'accord avec vous? Un ami ne devrait-il pas être là pour vous aider à trouver la marche à suivre? Il ne s'agit pas de sytématiquement critiquer, mais d'avoir des remarques constructives plutôt que de répéter ce que l'on veut entendre? A bientôt!
A part l'exemple introductif, qui ne m'a pas passionné, j'ai trouvé ce chapitre tres instructif. Je n'ai pas assez de relations avec des américains pour pouvoir juger de la valeur du schéma proposé, mais je trouve en tout cas qu'il correspond bien à ce qui a pu être écrit dans les questionnaires ou sur les films. Notamment la description de l'amitié version française me semble cohérente, avec mon expérience en tout cas. En acceptant la version américaine, et en la comparant avec ce qui se passe en France, je voudrais juste savoir si "nos" américains, ceux du groupe MIT, se satisfont de ce modèle, si déjà ils s'y reconnaissent, ou si la version française les attire un tant soit peu. Personnellement, je trouve la liberté, dans la fréquence des contacts..., qui accompagne l'amitié type US attirante, bien que les problèmes de stricte égalité dans les échanges me semblent particulièrement gênants: je me vois mal gérer une amitié comme une relation professionnelle ou une affaire de comptabilité.
Salut, c'est Aurélia (et David aussi, virtuellement) Pensez-vous que vous préféreriez avoir beaucoup d'amis ou un petit groupe d'amis? Est-il vraiment profitable qu'un ami soit toujours derrière vous, c'est-à-dire qu'il soit toujours d'accord avec vous? Un ami ne devrait-il pas être là pour vous aider à trouver la marche à suivre? Il ne s'agit pas de sytématiquement critiquer, mais d'avoir des remarques constructives plutôt que de répéter ce que l'on veut entendre? De mon expérience de l'amitié américaine, c'est souvent très chaleureux le jour où ils vous rencontrent pour la première fois, comme si vous alliez être amis à vie, et le lendemain ils se souviennent à peine de votre nom ou ils ne vous reconnaissent pas.Qu'en pensez-vous? A bientôt!
Il semble que les relations entre américains soient un peu plus superficielles qu'en France. Les français sont plus exigents en matière d'amitié. Par exemple, en cas de problème, un français attend que ses amis le soutiennent pratiquement et psychologiquement. Aux Etats-Unis, la "demande affective" est peut-être moins marquée. Les français font bien la difference entre leur "cercle" d'amis et leurs "copains", plus éloignés. Qu'en est-il chez vous? Avez-vous plusieurs categories d'amis comme nous, ou êtes-vous moins sélectifs? Kosal et Michael
Salut, le texte sur l'amitié comprend des exemples assez extrèmes(cf Nukuoro mais on voit à peu près où l'auteur veut en venir:l'amitié est une relation à part nuancé selon les origines culturelles; les américains n'osent pas pénétrer dans le jardin secret de leurs amis de peur d'être jugé curieux ou critique tandis que les français considèrent qu'une véritable amitié se construit sur une connaisance mutuelle approfondie...Qu'en pensez-vous ? Alexandre
Discussion
Salut, c'est Aurélia (et David aussi, virtuellement) Pensez-vous que vous préféreriez avoir beaucoup d'amis ou un petit groupe d'amis? Est-il vraiment profitable qu'un ami soit toujours derrière vous, c'est-à-dire qu'il soit toujours d'accord avec vous? Un ami ne devrait-il pas être là pour vous aider à trouver la marche à suivre? Il ne s'agit pas de sytématiquement critiquer, mais d'avoir des remarques constructives plutôt que de répéter ce que l'on veut entendre? A bientôt!
A part l'exemple introductif, qui ne m'a pas passionné, j'ai trouvé ce chapitre tres instructif. Je n'ai pas assez de relations avec des américains pour pouvoir juger de la valeur du schéma proposé, mais je trouve en tout cas qu'il correspond bien à ce qui a pu être écrit dans les questionnaires ou sur les films. Notamment la description de l'amitié version française me semble cohérente, avec mon expérience en tout cas. En acceptant la version américaine, et en la comparant avec ce qui se passe en France, je voudrais juste savoir si "nos" américains, ceux du groupe MIT, se satisfont de ce modèle, si déjà ils s'y reconnaissent, ou si la version française les attire un tant soit peu. Personnellement, je trouve la liberté, dans la fréquence des contacts..., qui accompagne l'amitié type US attirante, bien que les problèmes de stricte égalité dans les échanges me semblent particulièrement gênants: je me vois mal gérer une amitié comme une relation professionnelle ou une affaire de comptabilité.
Salut, c'est Aurélia (et David aussi, virtuellement) Pensez-vous que vous préféreriez avoir beaucoup d'amis ou un petit groupe d'amis? Est-il vraiment profitable qu'un ami soit toujours derrière vous, c'est-à-dire qu'il soit toujours d'accord avec vous? Un ami ne devrait-il pas être là pour vous aider à trouver la marche à suivre? Il ne s'agit pas de sytématiquement critiquer, mais d'avoir des remarques constructives plutôt que de répéter ce que l'on veut entendre? De mon expérience de l'amitié américaine, c'est souvent très chaleureux le jour où ils vous rencontrent pour la première fois, comme si vous alliez être amis à vie, et le lendemain ils se souviennent à peine de votre nom ou ils ne vous reconnaissent pas.Qu'en pensez-vous? A bientôt!
Il semble que les relations entre américains soient un peu plus superficielles qu'en France. Les français sont plus exigents en matière d'amitié. Par exemple, en cas de problème, un français attend que ses amis le soutiennent pratiquement et psychologiquement. Aux Etats-Unis, la "demande affective" est peut-être moins marquée. Les français font bien la difference entre leur "cercle" d'amis et leurs "copains", plus éloignés. Qu'en est-il chez vous? Avez-vous plusieurs categories d'amis comme nous, ou êtes-vous moins sélectifs? Kosal et Michael
Salut, le texte sur l'amitié comprend des exemples assez extrèmes(cf Nukuoro mais on voit à peu près où l'auteur veut en venir:l'amitié est une relation à part nuancé selon les origines culturelles; les américains n'osent pas pénétrer dans le jardin secret de leurs amis de peur d'être jugé curieux ou critique tandis que les français considèrent qu'une véritable amitié se construit sur une connaisance mutuelle approfondie...Qu'en pensez-vous ? Alexandre