A good neighbor

Un bon voisin

does not play music loudly at night.

is a friend or neutral party.

is always there for you.

is concerned with his/her neighbors wellbeing but is respectful of their privacy

is considerate and respectful.

is courteous and proper.

is friendly and considerate.

is friendly and helpful, but minds their own business.

is one that is civilized and polite.

is one who respects your space and their own and doesn't try to interfere

is social but not bothersome.

is someone who is courteous to you and helps you in times of need

is there for you in times of trouble and to play with you on weekends.

looks out for you.

picks up your mail when you are on vacation.

says hi when he sees me.

stays in touch.

watches out for burglars for the neighborhood.

will give you the sugar whenever you need it, and be there for much more than that.

will not often get into disputes

aide, ne fait pas de bruit

aime discuter, n'est pas envahissant

discret, sans bruit, confiance

est aimable mais pas encombrant

est aimable, serviable, qui est presque un ami

est courtois, pas gênant : pas forcément un ami.

est discret

est là de temps en temps mais sait se faire oublier

est quelqu'un qui invite souvent ses voisins chez lui ou passe chez ses voisins.

est respectueux.

est un ami

est un ami

est une personne aimable et sympa

gentil, généreux,

me permet de faire du bruit dans une certaine limite

n'écoute pas aux portes, prend la peine de discuter

ne fait pas de bruit, est sympathique

un ami potentiel

Discussion

Hello everyone,

I seem to be somewhat confused. For Word Associations, under
neighbor/voisin, I noticed a huge difference in American/French
perspecives. It seems to me that while most Americans view their
neighbors as good friends or even almost part of the family, the
typical French relationship with their neighbors is that of mere
acquaintances. If I recall correctly, words like "indifference" and
"connaisances" were used frequently to describe neighbors. However,
under the sentence completion section, many French students said "un
ami" or even "quelqu'un qui invite souvent ses voisins chez lui ou
passe chez ses voisins." This doesn't seem to coincide with the word
associations, so I was just wondering if befriending your neighbor is
only seen in certain places or if the whole "acquaintance" relationship
is most common in France.

Natalia

Pour
répondre un peu à ta question, pour moi les relations qu'on a avec un
voisin sont d'abord neutres. Il est rare qu'en France, on soit super
ouvert à ses voisins dès le début. Personnelement j'ai toujours vécu
dans des immeubles et la plupart des realtions que j'avais avec mes
voisins se résumaient à "bonjour-bonsoir" quand je les croisais dans
l'escalier, en revanche mes parents parlaient un peu avec eux, ils
venaient parfois prendre l'apérétif à la maison, on pouvait leur
demander un service de temps en temps, mais guère plus. En France, on
recherchera plus ses amis au travail ou comme des relations dautres
amis.

A l'X par contre , on a en général tous des très bons rapports
avec nos voisins: de là je me pose une question: ne pouvons nous être
ami avec notre voisin que parceque ce dernier appartient à une même
catégorie socio-professionnelle (peut-être que cette question ne se
pose pas que pour les voisins)? J'ai l'impression que dans l'image
classique des pavillions des banlieues résidentiels américaines, tout
le monde a le même niveau de vie, et il n'y a pas de différenciation,
ce qui faciliterait l'échange; alors il est vrai qu'en france il existe
des quartiers plus ou moins aisés que d'autres mais j'ai l'impression
que le brassage social est plus important, et les relations donc moins
faciles. Mais mon point de vue n'est que celui d'un parisien, qui a
toujours vécu à Paris. Comment celà se passe-t-il aux USA, y a-t-il une
différence entre villes, banlieues et province?

Alban,
To anwer your questions, I think the relationship you have with your
nighbors is very different depending on whether you live in a big city
or a small town. I think close relationships with neighbors are more
common in small towns, where it is easier to get to know the people who
live in the area. Also, towns have more of a "family" atmosphere, where
as cities are mostly invaded by young professionals. I don't know if
maybe it's the same in France?

To
address Alban's question and Adriana's response, I think that in the US
ones relationship with their neighbors is more a function of relative
permanence of the situation rather than the actual location. In cities
people move around a lot, especially the young professionals who are
upwardly mobile. In this instance there is little motivation to get to
know your neighbors, since they will probably change in a couple of
months anyway. I did my undergrad in a small town, and you saw this
exact same behavior. None of the locals wanted to get to know the
students because they would be gone in a few years. By contrast, in
Anchorage, a relatively large city, people were very neighborly. This
is probably because not many young urban professionals move to Alaska
and the population of the city is rather stationary (Also, there is not
anywhere else to live for several hundred miles... another reason
people stay put.) Over all, I have to agree, your experience with your
neighbors varies drastically depending on where you live, and in large
cities, or large universities, it tends to be rather anonymous.

Je
me demande s’il n’y a pas aussi une différence culture appart la
différence entre une grande et une petite ville. Je viens d’une petite
ville et même si mes parents sont amis avec les voisins ce n’est pas le
cas pour moi, à part 2-3 personnes. J’ai l’impression que en France on
ne communique beaucoup avec ses voisins et chaqu’un cultive son jardin.
Selon moi le fait que les vacances sont pour presque tout le monde en
aout et que on ne reste pas d’habitude chez soi empêche une forte
communion avec les voisins, mais comme disais Alban c’est peut être
aussi question de position sociale.

L’image que j’ai des petites villes aux Etats-Unis est que
toute le monde te demande comment tu vas et tu connais toute le monde,
mais en France j’ai l’impression que tu ne dépasses pas le Ť Bonjour ť
que avec peu de gens.

Bpn
, je suis désolé je devais faire l'analyse de ce sujet mais je n'ai pas
eu le temps avan ce week end , et chez moi je n'ai pas réussi à me
connecter aus serveur du MIT.

Effectivement les Americains semblent voir en leur voisin un
ami de façon assez générale. Chez les français on voit plutot un pôle
aimable, amicale ( ce qui, pour moi en tout cas ne veux pas dire amis
exactement mais plutôt quelqu'un de sympathique ). Quelqu'un qui
s'interesse à soi, qui peux nous aider, surveiller notre maison mais
n'est pas pour autant un ami. On remarque d'ailleurs un gros pôle qui
correspond à l'idée que le voisin ne s'immise pas trop dans notre vie,
qu'il respect notre vie privée. On retrouve aussi ce pole chez les
Americains mais il est moins important.

Nos deux pays voient par contre leur voisin comme quelqu'un qui nous aide et quelqu'un de courtoi.

Bon, pour parler de mon experience personnel, je vie dans un
village de 700 habitants, mes voisins directs je dois dire que je ne
les connais pas réelmeent et que ce ne sont absolument pas des amis ,
même si j'ai avec eux des relations plutôt positives ( ce qui ne
m'empeche pas de penser que l'un d'eux est un vrai ***).

Moi ce que je pense, c'est que on choisit un ami sur des
critères très personnel et plus ou moins drastique. C'est avec
quelqu'un avec qui on va partager certaines valeusr, certaines passion,
quelqu'un dont on aime le comportement , avec qui on s'entend très bien
et en qui on peut avoir confiance. Hors le voisin nous est "imposé" par
le hasard de la vie, et ne correspond à priori en rien, en ce que je
définis comme amis. La seule chose qui nous rapproche c'est la
proximité géographique , donc pour moi il est absurde de vouloir voir
en notre voisin un ami ( de façon générale ). Bien sûr, je vais
cherhcher à avoir les meilleurs relation avec lui mais je ne vais pas
forcement chercher à être son amis. Dans le meilleur des cas, on tombe
sur quelquu'un de bien et l'on devient son ami, mais pour moi cela
releve du hasard de tomber sur quelqu'un qu'on apprécie.