A good job is a job ...

Un bon emploi est un emploi ...

  • that benefits the society,
    allows work life balance
    that pays well
  • that challenges people to think/act critically about solving world problems
  • that is rewarding and provides financial stability, compensates fairly for work done
  • that makes the world better
  • that makes you happy
  • That makes you happy and provides you with an opportunity to have a good quality of life.
  • that one enjoys, that would help the world become better, that is worth going to
  • that pays sufficiently, that treats its workers right, that is something one is passionate about
  • that pays well and that you enjoy doing.
  • that pays well in mentorship and $.
  • that provides money for you, that you enjoy, that leaves room for promotion.
  • that the employees are passionate about, that brings excitement into one's day, well earned
  • that the person enjoys, does not over work the person, invites a friendly working environment
  • that won't overwork you, that one can find fulfilling, that you enjoy doing
  • that you can enjoy, that will allow you to make enough money to eliminate your financial problems, is one where you like your coworkers
  • that you don't consider to be work.
  • that you enjoy, that makes a difference, that pays well
  • That you enjoy doing.
  • where you can use skills already have while learning new information and challenging yourself.
  • you do with passion, motivation, and that rewards you.
  • you love, but also brings income.
  • avec des bonnes relations, un bon salaire, bon cadre de travail
  • Est un emploi passionnant
  • Est un emploi qui paie bien
  • intéressant, dynamique, sans trop de contraintes
  • où j’aime ce que je fais
  • que l'on aime.
  • qui laisse du temps libre
  • qui permet d'évoluer
  • qui permet de s'épanouir
  • qui permet de vivre confortablement
  • qui plait, qui rapporte de l'argent
  • Qui rapporte de l'argent.
  • Salaire, plaisir
  • stable
  • stable, bien payé, avec des collègues agréables
  • stable, rémunéré à la hauteur des efforts fournis, cadre accueillant
  • stable et bien payé
  • épanouissant, bien payé, évolutif
  • évolution, argent, temps

Discussion

It seems that ENSEIRB students prioritized a good salary, stability, and good work conditions, whereas MIT students wrote more about it being something you’re passionate about and makes the world a better place. I feel like this reflects the American tendency to romanticize work. It’s like it has become our life mission – where we find meaning. Personally, I think if your work is your life mission or changes the world then great, but I think it is kind of silly that we expect that we should find so much meaning in our work, as there are other places one can find meaning.

^ I forgot to ask: in what aspect of life do you feel that you/other French people derive the most meaning?

I agree with Maya in that it seems that the answers from ENSEIRB focus more on stability and a good salary, and the answers from MIT focus more on happiness and enjoyment. Many people have told me that because they work such long hours, it is important that they enjoy their work. Many students have the goal of finding a job that does not feel like work. On the other hand, many students also have a more realistic view of a job as something that provides the financial means to pursue more enjoyable activities outside of work.

I think that part of the reason why many college students in the US are focused on finding an enjoyable job (not just a stable one) is because many entry-level jobs in popular industries in the US are known for having long working hours. It is easier to spend long days at the office if one finds the work interesting/enjoyable. What are working hours like for new college graduates in France? Does work take up the majority of people’s energy, or is it seen as more of a responsibility and less of a source of enjoyment/meaning?

En lisant les réponses, je suis arrivée à la même conclusion que vous.

Personnellement je fais partie des gens qui ont besoin d’apprécier leur travail pour y être impliquée et productive. Je comprends donc la vision “américaine” du sujet.

Cependant, depuis quelques années, les psychologues ont observé une nouvelle mentalité chez les jeunes générations en France. Je ne sais pas si c’est un phénomène mondial.
Avant, il fallait vivre pour le travail, mais maintenant, les gens travaillent pour vivre. Cela signifie que l’emploi n’est plus le but final d’une vie, mais simplement une composante. C’est un moyen technique et financier qui permet de pouvoir s’épanouir dans d’autres domaines. Par exemple: la famille, les voyages, les loisirs etc..
Cela implique que notre travail doit être stable et sécurisant pour nous permettre d’être actif dans d’autres domaines.

Pour répondre à la question de Isabelle, les conditions de travail pour un jeune diplomée sont plutôt bonnes, et les horaires ne me semblent pas execessifs (35h par semaine). Cela dépend évidemment des entreprises et des domaines d’étude.

Hey Lisa, I agree with your comments but I see the opposite culture here that only seems to strengthen. In America, people “live to work” and people who are really stable truly “work to live.” It is interesting that you mention that since I didn’t know France had that mindset before. Is there a certain time period in French history where the frenchmen were very work driven?

Hey Lisa, I agree with your comments but I see the opposite culture here that only seems to strengthen. In America, people “live to work” and people who are really stable truly “work to live.” It is interesting that you mention that since I didn’t know France had that mindset before. Is there a certain time period in French history where the frenchmen were very work driven?

Bonjour!

Je ne sais pas si ce que je vais dire dans la suite de ce message est valable pour des générations entières de Français, mais il s’agit du sentiment que j’ai eu en discutant avec ma famille plus agée. Je ne voudrais pas vous donner une vision éronée de la France!

Dans le cas de mes parents, mais surtout de mes grand-parents, il ne fallait pas travailler pour vivre, mais surtout travailler pour survivre. L’aspect psychologique rentrait en compte (la rigueur d’esprit, l’envie de rendre un travail de qualité…), mais le travail garantissait surtout un confort de vie plus acceptable. Aimer son travail était un bonus, son objectif principal était de faire vivre sa famille. On se posait pas la question de pourquoi on travaillait et ce qu’on fera à le week-end ou le soir. Le travail était un aboutissement.

Je pense donc qu’il y a une nuance entre la mentalité américaine actuelle (s’épanouir dans son métier) et la vision française d’il y a quelques dizaines d’année (avoir un métier pour garantir un confort minimal).
Ce phénomène est-il propre à la France d’avant? Y a-t-il eu une évolution de la vision du travail aux USA? Avez vous le même sentiment en discutant avec vos familles?

Bonjour à tous,

Je suis d’accord avec ce qu’a dit Lisa par rapport à la génération précédente.

Je me suis donc interrogé sur l’utilité du travail dans notre vie. Il me semble que la vision du travail comme un moyen de subvenir à ses besoins n’a pas encore totalement perdu de son sens aujourd’hui. En effet, si l’on travaille, c’est avant tout pour gagner sa vie, pouvoir se payer à manger, avoir un toit au-dessus de sa tête. Si tout cela était acquis et assuré, continuerions-nous de travailler au quotidien pendant tant d’années ? Je ne pense pas. L’on s’adonnerait à profiter de la vie comme chacun l’entendrais.

Cependant, serait-il possible de passer une vie entière de désœuvrement? Pourrions-nous passer 80 années d’oisiveté ?
Je ne pense pas. Le travail est apparu avec la vie : chasser, manger, chaque être vit pour subvenir à ses besoins primaires, l’être humain l’a simplement déformé en créant un monde bien plus complexe que celle du chasseur-cueilleur primaire.

Le travail est-il donc nécessaire à la vie ? Pourrait-on s’en passer une fois tout nos besoins primaires assouvis ?

Bonjour,

pour répondre à la question de clément, dans le cas où on serait garantie que tout nos besoins primaires serait assouvis pour toute notre vie (par exemple des robots font tout à notre place), je ne pense pas que le travail serait nécessaire à la vie.

Si on prend l’exemple de nobles, rois ou empereurs qui, du fait de leur statut voyaient tout leurs besoin assouvis, plusieurs ne travaillaient pas, certains était sérieux et diriger leur pays, mais d’autre ne faisait que profiter. Aussi aujourd’hui, ayant accès à plus de divertissement, moyens, … qu’au Moyen Âge, je suis certain qu’on pourrait s’en passer.

Après peut être pas tout le monde, en effet on observe parfois par exemple des personnes qui sont à la retraite et qui n’ont pas besoin de revenues complémentaires, mais qui continue de s’occuper, en donnant des cours, en s’occupant beaucoup de leur jardin, faisant du bénévolat…

Je pense donc que selon la personnalité, on peut très bien se passer du travail si on a de quoi s’occuper.

Pourriez vous vous passer du travail si tous vos besoins primaires pouvaient vous être garantie, et que vous ayait accès à toutes sortes de divertissement ? Ou finiriez-vous par ne plus le supporter ?

Bonjour,

Je pense que le travail peut constituer une réelle composante du bonheur d’une personne grâce au sentiment d’accomplissement et de faire quelque chose d’utile qu’il peut apporter. Cela permet aussi de garder un équilibre avec les moments de détente qui nous paraissent alors mérités. Je ne dis pas que le bonheur se trouve dans le travail, je ne vois pas ma vie se restreindre au travail, comme cela peut parfois être le cas pour certaines personnes par choix ou non, mais il peut y contribuer.

Selon moi, un bon travail est un travail qui en plus de nous permettre de gagner notre vie, nous permet de nous épanouir en prenant du plaisir dans ce que l’on fait et nous fait nous sentir utile, tout en nous permettant d’avoir une bonne part de moments “off” afin de garder un bon équilibre sain. Quelle est votre définition d’un bon travail ?

Pour ma part, ma définition d’un bon travail est la suivante. C’est un travail épanouissant qui suscite de l’intérêt, de la passion ainsi que l’envie de progresser dans celui-ci. Pour moi, un bon travail doit te permettre d’en parler sans en avoir honte, que cela devienne un sujet de conversation agréable en dehors et que te permettes de t’épanouir autant sur l’aspect professionnel que personnel en te laissant suffisamment de temps pour faire avancer d’autres projets qui t’intéressent. D’autre part, un bon travail passe également par de bons acteurs avec des collègues bienveillants et professionnels favorisant la croissance de l’entreprise.

engage